Une chronique de Frédéric Gonzalo, conférencier, blogueur et consultant. Vulgarisateur marketing et spécialiste en etourisme.
(Partie 1 de 2)
En 2014, plus que jamais, j’aurai eu l’occasion de visiter plusieurs régions de notre belle province tant pour affaires que pour des séjours d’agrément. Au moment d’écrire ces lignes, je reviens d’ailleurs tout juste d’un weekend ensoleillé au Domaine Château Bromont, dans les Cantons-de-l’Est, où j’ai bien sûr profité des installations récemment rénovées et du parc aquatique voisin, mais aussi d’une journée fabuleuse en Montérégie du côté de St-Jean-sur-Richelieu pour une envolée mémorable en montgolfière. Et le weekend prochain? Ce sera du glamping en tentes Huttopia au Parc national de la Pointe-Taillon, au Lac St-Jean. Bien hâte!
C’est la beauté d’oeuvrer dans l’industrie touristique, mais aussi un défi constant: on est tellement collé à cette réalité avec laquelle on travaille qu’on en vient à perdre de vue la perspective d’ensemble. Surtout pour le consommateur et voyageur québécois qui a le choix entre des staycations (voyages à proximité de la maison) et des destinations voisines comme les provinces atlantiques, l’Ontario ou le nord-est américain, sans oublier les tout-inclus dans les Caraïbes ou toute destination desservie en avion: Ouest canadien, Amérique latine, Europe, etc. Alors, comment se porte le tourisme au Québec?
Un moteur économique
Commençons tout d’abord par crever un mythe persistant: le tourisme, c’est bien plus que les vacances! L’industrie touristique vient d’ailleurs au 5e rang des principaux produits d’exportation au Québec, avec des revenus annuels de plus de 10 milliards $, ce qui représente 2.5% de notre Produit Intérieur Brut (PIB). Cela représente plus de 30,000 entreprises et plus de 400,000 emplois directs, dans un des secteurs les moins coûteux à développer et des plus rentables en création d’emplois, particulièrement en régions éloignées. (Pour en savoir plus à ce sujet, je vous invite à relire Les trois défis du tourisme au Québec, partie 1 et partie 2)
(Partie 1 de 2)
En 2014, plus que jamais, j’aurai eu l’occasion de visiter plusieurs régions de notre belle province tant pour affaires que pour des séjours d’agrément. Au moment d’écrire ces lignes, je reviens d’ailleurs tout juste d’un weekend ensoleillé au Domaine Château Bromont, dans les Cantons-de-l’Est, où j’ai bien sûr profité des installations récemment rénovées et du parc aquatique voisin, mais aussi d’une journée fabuleuse en Montérégie du côté de St-Jean-sur-Richelieu pour une envolée mémorable en montgolfière. Et le weekend prochain? Ce sera du glamping en tentes Huttopia au Parc national de la Pointe-Taillon, au Lac St-Jean. Bien hâte!
C’est la beauté d’oeuvrer dans l’industrie touristique, mais aussi un défi constant: on est tellement collé à cette réalité avec laquelle on travaille qu’on en vient à perdre de vue la perspective d’ensemble. Surtout pour le consommateur et voyageur québécois qui a le choix entre des staycations (voyages à proximité de la maison) et des destinations voisines comme les provinces atlantiques, l’Ontario ou le nord-est américain, sans oublier les tout-inclus dans les Caraïbes ou toute destination desservie en avion: Ouest canadien, Amérique latine, Europe, etc. Alors, comment se porte le tourisme au Québec?
Un moteur économique
Commençons tout d’abord par crever un mythe persistant: le tourisme, c’est bien plus que les vacances! L’industrie touristique vient d’ailleurs au 5e rang des principaux produits d’exportation au Québec, avec des revenus annuels de plus de 10 milliards $, ce qui représente 2.5% de notre Produit Intérieur Brut (PIB). Cela représente plus de 30,000 entreprises et plus de 400,000 emplois directs, dans un des secteurs les moins coûteux à développer et des plus rentables en création d’emplois, particulièrement en régions éloignées. (Pour en savoir plus à ce sujet, je vous invite à relire Les trois défis du tourisme au Québec, partie 1 et partie 2)
Le tourisme est une industrie particulièrement fragmentée, allant des transporteurs nationaux et régionaux aux festivals et évènements, en passant par les attraits, l’offre d’hébergement, les restaurants, les activités (spa, golf, ski, mononeige, etc.) et divers acteurs incluant les fournisseurs aux congrès, tours opérateurs et agents de voyages. Sans oublier les destinations qui font la promotion de régions et territoires, afin de nous inciter à y vivre une expérience de quelques heures à quelques jours… Lire la suite.
Source: Frédéric Gonzalo